mercredi 15 février 2012

Dans un voyage en absurdie...


Toute femme que je suis, avec ses immenses défauts, ses non moins immenses qualités, j'ai compris qu'Eve avec sa pomme a contribué à instaurer l'idée que l'homme aime la femme au point de se jeter avec elle dans les vicissitudes d'une vie compliquée qu'elle a créé par curiosité, alors qu'il avait en son pouvoir de redresser la barre et de ramener l'ordre à peine froissé. Depuis l'origine des temps donc, l'homme s'est laissé mener par la femme tout en la suivant pour la protéger d'elle-même, émouvante contradiction!
Aujourd'hui, il apparaît que cette virilité originelle disparaît au profit d'un narcissisme de mauvais aloi, voire d'une dégénérescence des générosités alterégotiques.
La gente féminine qui recèle un nombre infini de diverses sensibilités se rejoint en général sur une psychologie assez commune concernant ses rapports avec les homme.
Souvent, comme je l'ai constaté, le kiki reste l'obsession de l'homme, lequel pense donc qu'il en est de même chez nous. Malheureusement, beaucoup de malentendus seraient évités si les hommes commençaient à comprendre que les femmes ont besoin de tendresse et de gentillesse, tout en même temps que de galanterie et d'entreprise pour une drague ferme et décidée. 
 La malitude a été proprement dépecé ces dernières décennies par ce féminisme débilitant, arrogance nouvelle, destabilisant une virilité qui se disqualifie d'office si elle tente un tant soi peu de s'affirmer.La libéralisation sexuelle était destinée aux femmes afin de mieux les asservir par la création de pulsions qu'elles ne connaissaient alors qu'à travers le grand amour, mais l'homme a participé avec entrain à ce grand chamboulement: la pomme paraissait si bonne!! et il s'est débilité et dégénéré au jeu de la sexualité éphémère.
 Au lieu de partir au combat pour sauver la société dans ce qu'elle a d'ordonné, ils se sont repliés sur eux-même et ce fut l'explosion des gays.  Les hétéros invétérés ont quand même relevé l'oeil pour voir s'ils ne se feraient pas manger par ce nouveau monstre femelle au pied d'argile, ce monstre qui ne demandait qu'à se briser, qu'à rouler dans ses bras, mais, aveuglés, troublés, ils partirent à l'assaut des filles moches, petites, grosses, sans caractère, aguicheuses, maquillées, métisses, de celles donc qui jadis étaient un soucis pour leurs parents car difficile à marier, mais qui, aujourd'hui sont tellement faciles et juste à la mesure de la capitulation masculine. Combien de filles belles et simples, mais fières et généreuses sont restées seules et se retrouvent à 40 ans sans avoir eu l'honneur d'une invitation, ayant senti pourtant des regards envieux, mais tellement timides, de vers de terre amoureux d'une étoile...
Sans voir la manipulation qui se cachait derrière ce féminisme pour soutirer toujours plus de taxes sur la population, pour sortir les épouses de leur foyer afin de sucer leur maternité jusqu'à tarir leurs mamelles inusitées, pour créer une nouvelle société sans fondation où la femme tout comme l'homme pourrait à tout instant remettre en question une alchimie affective délicatement construite par l'établissement tacite d'un rôle propre à l'un et l'autre, pour insuffler cette idée terrible d'égalité et le sentiment que la dignité de la femme était bafouée au profit de la supériorité apparente de l'homme, ils se sont engouffrés par générosité, peut-être même par amour, dans cette culpabilité de puissance. Ils ont alors bousculé l'équilibre pourtant stable de cette complémentarité masculine-féminine et ont failli à leurs promesses originelles de protecteurs.
 Je vais vous dire ce qui se passe aujourd'hui à cause de l'homme blanc qui se contente de midinettes: ce sont les noirs, les arabes qui volent ces jolies filles. Combien de fois, dans le métro, dans la rue, dans les trains, n'importe où, un noir africain (pas forcément beau), un arabe (Libanais ou Maghrébins pas forcément muzz) s'est approché d'une jolie fille, non pas pour la molester comme le font certains voyous de quartier qui sont, ô combien, moins dangereux pour notre civilisation que ces premiers;  combien de fois donc ces hommes d'une autre civilisation, d'une autre race, mais indemnes dans leur caractère masculin, sont venus pour draguer une très jolie fille et lui dire des choses tellement agréables, lui manifester une sorte de protection virile, de dévouement totale, que celle-ci étant un tant soit peu dégoutée des blancs qui n'osent lever les yeux sur elle, partira avec lui.
 Ce ne sera pas forcement une réussite, et même rarement, mais il aura gagné à cause de la démission des blancs. A cause de ces hommes qui n'ont pas compris que le prozac a remplacé un bras enlaçant une taille, la cigarette un baiser volé, l'alcool un regard et une main caressante...eux-même se jetant sur ces mêmes drogues pour compenser leur impuissance affolée par ces cheftaines, ces pilotesses et autres ministreuses!
  Et puis il y aura les autres filles, plus déterminées, celles qui ont un idéal, qui attendront... parfois en vain.
Ces hommes d'une autre civilisation n'iront pas vers des filles d'une fois, mais pour construire un foyer, quand l'Européen se contentera de fugacité, déconstruira un foyer si pauvrement acquis et détruira alors par son irresponsabilité la civilisation de ses ancêtres.



 

2 commentaires:

  1. c'est vrai et c'est faux.
    vous faites abstraction d'un concert de lois et de mesures qui ont, essentiellement sous la pression des féministes, depuis le début des années 60, privé l'homme de toutes ses fonctions de chef de famille, de toute autorité de père de famille, naturellement de toute autorité de mari. Dès lors, ce qui est étonnant c'est qu'il y ait encore des hommes qui veulent épouser une femme pour fonder un foyer, avoir des enfants, sachant qu'au moindre caprice madame pourra partir, emmener les enfants, se faire payer une prestation compensatoire qui le mettra sur la paille.
    J'aurais 25 ans aujourd'hui, je ne crois pas que je me marierais .

    RépondreSupprimer
  2. Paul-Emic,
    Je ne crois pas que les lois privent l'homme de ses fonctions et autorité, mais plutot que l'homme s'en soit deliberement delesté parce qu'il n'a plus confiance en la femme. Je ne nie pas les ravages du feminisme et le condamne sans ambiguité, mais quand un homme et une femme sont ensembles, ils sont 2 et personne n'est là pour leur dicter leur conduite! malheureusement on constate que les hommes, en general(bien entendu), ne savent plus aimer, mais veritablement aimer, une femme. Cet amour masculin aurait dû, aurait pu faire échec au féminisme. D'ailleurs, je pense que c'est parce qu'on sait aimer qu'on choisira la femme/l'homme qu'on pourra garder. Le divorce n'est pas ineluctable.
    Je crois sincerement que les hommes ont naturellement une vision globale de la vie plus juste que celle des femmes, qui sont plutot faites pour le quotidien et la gestion immediates des affaires familiales. Il importait donc aux hommes de voir la supercherie du feminisme et de le denoncer au lieu de le revendiquer autant qu'elle, si ce n'est plus. Mais... n'est-il pas confortable de pouvoir planifier sur 2 salaires, et donc un bien meilleur niveau de vie?

    RépondreSupprimer