mercredi 9 janvier 2013

Transcendance ou l'art de filer le coton

Gandhi était un homme sage. Il proposait une solution somme toute assez simple pour lutter contre l'envahisseur: "si tous les Indiens se mettaient à filer le coton 2 heures par jour, les Anglais partiraient."
Ainsi, maintenant que les ficelles du système commencent à prendre des proportions tellement énormes qu'elles ne peuvent plus passer inaperçues, des mesures gandhiesques seraient bonnes à prendre, à savoir reprendre en main les droits fondamentaux qu'on veut nous enlever. Point n'est besoin de chahut ni de chaos, de revendications ni de pleurnicheries: le monde utilise des armes inédites, il s'agit de prendre celles qui les contreront.
La solution n'est plus dans la rue, même si celle-ci peut servir de défouloir pour hurler son  exaspération devant tant de crachats et de coups à l'encontre des Français de souche. Souvenons-nous du Christ devant les princes des prêtres, devant la soldatesque haineuse et manipulée: Il ne disait rien, Il gardait le silence mais priait pour ses bourreaux et pardonnait. Son pardon, son silence a retourné plus d'une âme, son silence fut la plus terrible des actions qui permit l'expansion d'une religion apparemment écrasée dans l'oeuf.
Ils veulent détruire nos âmes, ils veulent nos intelligences, nos volontés, notre alliénation à une idéologie et surtout à un athéisme forcené, ils ne veulent pas notre silence, ils se réjouissent de nos révoltes de fourmis excitées devant un mammouth...
Les fusils et les manifestations servent leur plan de désordres et de meurtres. La haine ainsi exacerbée encourage des éliminations radicales qui ne peuvent que remplir leur carnet de route de la réduction drastique des populations. Apparemment les choses ne vont pas assez vite à leur goût, les Européens ont encore trop de réticence, trop de savoir-vivre, trop de générosité par tant de siècles de culture chrétienne et continuent d'accepter ce qui devrait être inacceptable, non plus par charité mais par aveuglement et manque d'esprit critique, lequel est désormais relégué aux oubliettes de l'éducation nationale.
Alors les lois vont se suivre les unes après les autres pour ôter les derniers atomes constructeurs de la société, pour enfin parvenir à faire main basse sur les forces vives des pays: l'enfant.
C'est l'âme des enfants qu'ils visent aujourd'hui, cette âme maléable au berceau et pendant toute la petite enfance qui seule peut servir aveuglément leur dessein.
Protéger ces âmes doit devenir le seul combat valable, car c'est sur ce point que nous aurons d'importants comptes à rendre.
 La famille doit alors, de manière urgente, devenir indépendante et d'un point de vue spirituelle repliée sur elle-même mettant des remparts moraux pour ne pas laisser entrer l'ennemi. Ce repli n'est pas de l' égoïsme mais une sorte de surnaturalisation des liens familiaux, traduisant pour la famille l'individualité chrétienne, que j'expliquais dans un autre texte, de vivre la tête dans le ciel mais en gardant les pieds bien sur terre...
D'un point de vue matériel notre système présente encore des relents de véritables soutiens sociaux, il faut en profiter avant que tout cela cesse, il faut se servir du système comme tremplin pour en sortir et s'il faut le faire crever par trop d'abus tant mieux, mais au moins le plus possible auront pu tirer leur épingle du jeu.
Ainsi, ayant assurer leurs arrières en positionnant leurs pions au ciel et sur la terre, seuls les" fils de lumière" pourront survivre à un chaos physique et spirituel généralisé.
Entendons-nous sur ce mot "survivre", car il est bien loin du survivaliste boyscout qui craint la mort physique et la précarité mais se soucie si peu de son âme.
Survivre, c'est avant tout garder son âme libre, c'est ne pas donner prise à l'acharnement de la destruction de la Vérité et refuser l'erreur, et c'est aussi reprendre une vie simple, une vie naturelle, c'est aussi faire le choix de faire revivre notre pays en profondeur et non pas seulement par nécessité d'un besoin immédiat.
Aujourd'hui donc, en ce début d'année 2013, je crois que l'heure est celle de la transcendance et du devoir, celle du choix d'une vie bonne et rebelle, celle de "filer le coton" de la Providence.



5 commentaires:

  1. Ils veulent nous athéiser tout en mettant au point une forme de culte mondial, mais en gardant leur religion d'élite : le judaïsme !

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  2. exactement, mais pas n'importe quel athéisme, seuls les catholiques sont leur véritable ennemi...les protestants (copain-copain pour s'approprier le monde des finances et du plaisir), les bouddhistes (religion du rien...trop facile), les muzz (religion du combat mercenaire... à leur service), les païens (c'est la promo de l'époque, comme antidote au christianisme avec son cortège de lamentations et de revanche).
    En clair, soyons catholique pratiquant, et je dirais même, pour cerner le problème au plus près, soyons catholique traditionnaliste, c'est la seule lutte valable.
    Si vous saviez le combat acharné qu'ils ont entamé pour détruire cette tradition, si microscopique à l'échelle mondiale, mais c'est le grain de sable dans leur rouage, terriblement dangereux.
    La pratique même sans la Foi (au départ!), le retour des messes en latin et des églises pleines le dimanche sera l'échec le plus cuisant dont ils ne pourront pas se remettre.

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  3. HARKIS REVOLTE 1975 :
    lien vers http://www.dailymotion.com/video/xl0lyn_hocine-le-combat-d-une-vie_news
    En 1975, quatre hommes cagoulés et armés pénètrent dans la mairie de Saint Laurent des arbres, dans le département du Gard. Sous la menace de tout faire sauter à la dynamite, ils obtiennent après 24 heures de négociations la dissolution du camp de harkis proche du village. A l'époque, depuis 13 ans, ce camp de Saint Maurice l'Ardoise, ceinturé de barbelés et de miradors, accueillait 1200 harkis et leurs familles. Une discipline militaire, des conditions hygiéniques minimales, violence et répression, 40 malades mentaux qui errent désoeuvrés et l' isolement total de la société française. Sur les quatre membres du commando anonyme des cagoulés, un seul aujourd'hui se décide à parler.

    35 ans après Hocine raconte comment il a risqué sa vie pour faire raser le camp de la honte. Nous sommes retournés avec lui sur les lieux, ce 14 juillet 2011. Anne Gromaire, Jean-Claude Honnorat.


    Sur radio-alpes.net - Audio -France-Algérie : Le combat de ma vie (2012-03-26 17:55:13) - Ecoutez: Hocine Louanchi joint au téléphone...émotions et voile de censure levé ! Les Accords d'Evian n'effacent pas le passé, mais l'avenir pourra apaiser les blessures. (H.Louanchi)

    Interview du 26 mars 2012 sur radio-alpes.net

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  4. Salutation Sonia!
    Je vous donne cela chez vous,je voulais chez l'Hoplite,suite a vos commentaires,et commenter l'article;mais la vanité me gagne ou prend le dessus assez souvent actuellement.
    Ce blogueur vous interessera,autonome totalement sur le plan alimentaire,l'essentiel donc,j'ai compris que vous etiez dans ce "schéma":cherchez chez google "Geispe monotarcie"cela devrait suffir a decouvrir son excellent blog;il réside dans les Vosges ou frontiere departementale;il y a a en apprendre de ses articles,qui aménent a une certaine humilité(autonomie alimentaire?autarcie?survivalisme??..ok ok mais pas de pain hein? farine faite avec certaines feuilles hein?vegetalisme tu devras aussi!ok comme ça?on essai?non non sans façon..)
    "Bons toujours" comme disait je ne sais plus quel blogueur..
    Dom.

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  5. Merci pour le site, Dom, mais je connais un peu le bonhomme. Effectivement, très instructif, mais pas tout-à-fait dans mon trip...un peu trop excessif à mon goût, peut-être? mais surtout une démarche pas assez révolutionnaire, un peu trop "peace and love"...
    En tout cas il fait de très belles photos.

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