mardi 4 octobre 2011

Brulot

Quand on mène le monde en bateau, il faut que le capitaine veille à ne pas sombrer avec l'équipage quand il commence à jouer à l'apprenti-sorcier.
Notre triste époque n'a plus qu'une valeur, celle de l'argent. Bien sur, diriez-vous on le savez déjà, mais ce qu'on ne soupçonne pas, du moins ce que je ne pouvais soupçonner avec un minimum d'honneteté et en envisageant les pires requins, c'est que "nos heures les plus sombres de l'histoire" furent pour certains les plus belles. Et n'allez pas chercher chez les bourreaux des victimes, mais chez les victimes elles-memes qui n'eurent de cesse que de créer une victimisation factice afin d'arriver à leur fin: etre maitre du monde par un enrichissement faramineux. Le négationniste sera considéré comme un crime pour protéger ces magouilles, au détriment des plus élémentaires libertés d'expression: la fin justifie les moyens, n'est-ce pas?

2 commentaires:

  1. Le traité de Maastricht était une trahison de la défense des intérêts des états membres.
    Ce qui est intéressant, c'est qu'ils (les dirigeants) acceptent des referendum sur des sujets dont très peu de gens connaissent les détails et le oui ou le non ne montrent qu'un rapport de forces entre les deux pôles traditionnels de la vie politique.
    Cette interdiction faite aux états d'emprunter à la banque centrale (sans intérêts)a précipité la faillite des états.

    Mais sur des sujets très clairs, simples, comme la construction des mosquées, les menus hallal dans les cantines scolaires, on ne demande jamais l'avis du peuple par référendum.

    De toute façon, si on le faisait, le résultat serait truqué ou on n'en tiendrait aucun compte…

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  2. on a demandé l'avis du peuple une fois pour toute en les faisant voter. Mais comme l'elu n'a de toute maniere signé aucun contrat, il fait ce qu'il veut avec le mandat reçu...c'est toute la supercherie de la democratie!

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